Michel Onfray

From Liberpédia
« Comme jadis on crut, avec Jean-Paul Sartre, que le marxisme était l’horizon indépassable de l’époque, l’élite ayant pignon sur rue dans les médias psalmodie sans relâche que le libéralisme constitue un même horizon indépassable. C’est faux. Le libéralisme est une idéologie dont l’utopie fait des dégâts considérables avec des victimes et des morts jamais comptabilisés – les suicides, l’alcoolisme, la drogue, la violence, les antidépresseurs, la délinquance, la criminalité en procèdent largement. […] Aujourd’hui, avec la logique libérale, le marché fait la loi sur la totalité du globe. Désormais les choses sont simples et nous n’avons le choix qu’entre deux hypothèses : soit on persiste dans la religion libérale, dès lors, il faut accepter une compétition universelle avec le travail des enfants, des vieillards, des malades, des femmes, des valides, tous mobilisés dans ces bidonvilles de la production planétaire qui pullulent en Chine, en Inde, au Maghreb. À partir de ce moment, il nous faut dire adieu à la protection sociale française (la Sécurité sociale, la retraite), à l’Éducation nationale gratuite, laïque et obligatoire, au service public (la poste, la SNCF), à un mode de vie (les loisirs, la durée du temps de travail, les congés, les infrastructures culturelles). »
Michel Onfray dans sa tribune Arnaud Montebourg, le seul antilibéral, sur le site du Monde, le 22 septembre 2011.


« C’est quand même assez sidérant que depuis 1983, conversion du Parti socialiste au libéralisme – j’appelle le “libéralisme” le marché qui fait la loi, qu’on s’entende là-dessus –, que depuis 1983, le libéralisme soit l’horizon indépassable à droite et à gauche, pourvu qu’il s’agisse des droites et des gauches qui sont susceptibles d’arriver au gouvernement. »
Michel Onfray dans l’émission Des paroles et des actes diffusée sur France 2 le 18 septembre 2014.


« Pétain estimait que le socialisme et le communisme du Front populaire avaient gangrené l’économie française et qu’il fallait revenir aux fondamentaux du libéralisme et de la libre entreprise. Voilà pourquoi il invente une formule sur laquelle nous vivons encore : la dictature libérale, le libéralisme imposé par l’État, la liberté par la contrainte… J’ajoute que les belles âmes du libéralisme oublient toujours de préciser que, outre Pétain, le libéralisme était aussi un régime célébré par Mussolini, par les dictateurs d’Amérique du Sud, dont Pinochet, par la Grèce des colonels et par Jean-Marie Le Pen… »
Michel Onfray dans Le Point du 10 mars 2016.


« La plus grande partie des médias défend une idéologie d’État qui est libérale, donc consumériste. »
Michel Onfray sur le site de Famille chrétienne le 27 juillet 2016.


« Nous sommes entrés dans l’ère d’un totalitarisme nouveau, souriant et brutal, aimable et assassin : l’ère du néolibéralisme d’État qui, un comble, impose le libéralisme, qui est extension des libertés par le haut, de façon autocratique, autrement dit par la réduction des libertés. »
Michel Onfray dans son livre Décoloniser les provinces, contribution aux présidentielles (sic), publié en mars 2017.


« Le pouvoir d’État n’est plus. Désormais, faute d’une positivité qui aurait suivi Mai [1968], la puissance publique se trouve entre les mains des banquiers, des fonctionnaires, des bureaucrates, des marchands, des négociants, des publicitaires. Le Père est mort au profit d’une multitude de barbaries libérales proliférantes. Le capitalisme paternaliste défunt a laissé place à la brutalité de la finance. »
Michel Onfray dans son livre L’Autre Pensée 68 - Contre-histoire de la philosophie 11, publié en mars 2018.


« Dès que vous parlez de “récit national” aujourd’hui, vous êtes un dangereux fasciste, on dit “il ne faut surtout pas parler de notre histoire de France”, parce que ce serait une histoire fasciste, en revanche il faudrait parler de l’histoire du monde entier, parce que ça, ça serait quand même nettement plus intéressant. Bon, je veux bien, mais je ne vois pas pourquoi l’un empêcherait l’autre : on peut très bien faire une histoire de France dans le monde et une histoire du monde qui traverse la France, ça reste la France et ça reste l’histoire de France. Donc on voit bien que ce sont des enjeux idéologiques aujourd’hui, qui permettent à des gens de faire avancer leurs pièces dans une logique de destruction de cette civilisation, de précipitation de destruction de cette civilisation ; au nom d’un cosmopolitisme, d’un universalisme, d’une mixité, d’un monde qui ne serait qu’un et qu’un seul, ce à quoi aspirent les libéraux aujourd’hui, parce que si le marché est unique et s’il est unique sur la planète entière, c’est formidable… »
Michel Onfray dans son cours de l’Université populaire de Caen Une esthétique de la propagande : politique de l’art chrétien donné au Centre international de Deauville le 13 mai 2018 et diffusé sur France Culture le 11 août 2018.


« Nous sommes dans une espèce d’État totalitaire postmoderne qui nous interdit aujourd’hui de ne pas être libéral : on est criminalisé si on n’est pas libéral, on est vichyste, pétainiste, fasciste, lepéniste, etc. »
Michel Onfray dans l’émission On n’est pas couché diffusée sur France 2 le 2 juin 2018.


« Marx nous dit effectivement que le libéralisme, c’est l’exploitation. Et Marx n’a pas tort : sur le terrain économique, il fait des analyses qui sont restées indépassables, sur la valeur d’usage, sur la valeur d’échange, sur la question du profit, sur la question de la paupérisation, sur la fameuse théorie du ruissellement des richesses que reprend aujourd’hui Emmanuel Macron et qui ne fonctionne évidemment pas – les riches s’enrichissent et deviennent de moins en moins nombreux, et les pauvres s’appauvrissent et deviennent de plus en plus nombreux et de plus en plus pauvres. Ça c’est une vérité, la paupérisation est une vérité du libéralisme. »
Michel Onfray dans sa réponse à la question « Quelle est la différence entre libéralisme et néolibéralisme, et lequel vivons-nous actuellement ? » mise en ligne sur son site le 30 octobre 2018.


« Le libéralisme est une doctrine politique en vertu de laquelle il faut laisser faire et laisser passer. Elle prétend que la main invisible régulera le marché. Or c’est une théorie du XVIIIe siècle déiste, elle ne fonctionne pas si l’on ne croit pas à la Providence ! Ce qui est advenu, au contraire de ce qui fut annoncé, c’est la loi de la jungle, la guerre de tous contre tous — c’est Thomas Hobbes qui a raison, pas Jean-Jacques Rousseau, qui est le péché mortel de notre civilisation… Le libéralisme a libéré et libère les plus bas instincts des plus bas morceaux de l’homme. […] Les vrais sauvages sont ceux qui, c’est un paradoxe, imposent le libéralisme et libèrent de ce fait toutes les passions animales. La République travaille à contraindre ces pulsions, le libéralisme les libère. »
Michel Onfray dans « Onfray sonne la charge », entretien avec Raphaël Stainville paru dans le Valeurs actuelles 4337 du 9 janvier 2020.


« Derrière son nouveau discours de “gauche morale”, Libération est resté en réalité un journal furieusement libéral, peu soucieux du respect dû aux faibles, notamment au plan sexuel. »
Michel Onfray dans sa tribune Joffrin, penseur du sexe mise en ligne sur son site le 19 janvier 2020.


« En plusieurs décennies, le libéralisme maastrichtien est parvenu à abolir le citoyen fabriqué à l’École républicaine (il était fascistoïde) au profit d’un consommateur formaté par les pédagogistes (il est progressiste). »
Michel Onfray dans sa tribune Radio-Paris ment mise en ligne sur son site le 5 février 2020.


« Tout citoyen français qui dispose d’un compte en Suisse ou dans un quelconque paradis fiscal doit être tenu pour responsable de la mort de qui n’aura pas pu bénéficier d’un respirateur hospitalier, responsable et coupable. »
Michel Onfray dans sa tribune Voici venu le temps des assassins mise en ligne sur son site le 22 mars 2020.


« C’est le libéralisme, qui évidemment déteste le souverainisme et a décidé qu’il fallait salir ce mot-là, qui veut un gouvernement planétaire. »
Michel Onfray dans l’émission Face à l’info diffusée sur CNews le 29 mai 2020.


« L’État profond, c’est ce que génère d’une certaine manière le capitalisme quand il est libéral, c’est effectivement “le marché fait la loi”. C’est : “Allez-y, vendez, produisez, échangez…” »
Michel Onfray dans l’émission Punchline diffusée sur CNews le 16 septembre 2020.


«  Zemmour n’a qu’un seul bras, le droit. Or, le gaullisme suppose les deux bras ; un seul contraint au salut que l’on sait. »
Michel Onfray dans sa préface au livre Jacline qui ? Réponse à Éric Zemmour, de Jacline Mouraud, publié en mars 2023.


« Je pense que le libéralisme à l’état pur, c’est ce qui se passe dans les banlieues [de l’immigration, ndlr] : le propre de l’argent, du bénéfice sans foi ni loi, [sans] morale… […] Il y a des libéraux qui vont à l’opéra bien habillés, et puis il y a des libéraux qui sont dans les banlieues et qui font fonctionner la kalachnikov, parce qu’effectivement, c’est le marché qui fait la loi et [ces gens-là] n’acceptent pas qu’il y ait perturbation du marché. […] Donc oui je pense que ce qui se passe dans les cités, c’est le libéralisme chimiquement pur. […] Si on veut voir comment fonctionne le libéralisme, c’est : le marché fait la loi et ceux qui ne veulent pas que le marché fasse la loi, hé bien on fait la loi pour eux, c’est ce que vous avez aux informations tous les matins, les coups de couteaux, les tirs de fusils, les rafales, avec des gens qui sont laissés sur le sol, pour des dominations de territoires. »
Michel Onfray dans l’émission Les Visiteurs du soir, de Frédéric Taddéi, diffusée sur CNews le 10 septembre 2023.


La particularité de Michel Onfray dans le paysage intellectuel français (PIF) – outre ses considérables puissance de travail et productivité, son éclectisme, ses apparentes vastes connaissances[1] et son habileté littéraire et oratoire – est d’être l’un des plus grands absurdistes, confusionnistes, destructeurs de la pensée rationnelle et contributeurs à la Folie française qui soient, ainsi que l’illustrent les citations qui précèdent[2], tout en n’étant pas directement et complètement esclavagiste. En témoigne son opposition, en tout cas depuis le début des années 2010 (mieux vaut tard que jamais), à ce qu’il appelle la « gauche des barbelés »[3] – le robespierrisme, le marxisme (quoique, voir la citation ci-dessus), le léninisme… –, et ce contrairement à la plupart des autres absurdistes du PIF. Hélas, il est loin d’en tirer les conséquences pertinentes[4]. De plus, c’est quand même bien à une certaine forme d’esclavagisme que son improbable socialisme libertaire[5], proudhonien, communaliste, fédéraliste, girondin, autogestionnaire et postanarchiste – mais aussi, pendant qu’on y est, souverainiste et gaulliste – ne peut que mener.

  • 1 ^  « Apparentes » est le mot important ici. Car si l’on creuse un peu, on s’aperçoit qu’elles ne semblent pas toujours bien maîtrisées, c’est le moins qu’on puisse dire, à en juger par les remarques et objections que lui adressent les spécialistes de chaque domaine qu’il aborde (voir les liens externes ci-dessous). Remarques et objections que, dans l’ensemble, il prend soin d’ignorer royalement ; tant pis pour le débat contradictoire… Pour ce qui nous concerne, nous affirmons que ses connaissances en philosophie politique présentent de sérieuses et déplorables lacunes, déplorables eu égard à ses hautes prétentions à la connaissance et à la profondeur (comme l’écrit Philippe Barthelet dans le Valeurs actuelles du 9 août 2018, « Michel Onfray est ce philosophe absolu qui se présente comme le résumé, la réponse et le dépassement de tous les philosophes possibles »).
  • 2 ^  On remarque notamment, dans ce tissus d’inepties et d’insanités mi-propagandistes mi-délirantes, proprement fantastiques tant elles tordent la réalité, tant elles décrivent un monde qui n’existe pas et qui d’ailleurs, pour certaines de ses affirmations les plus extravagantes, ne peut pas exister – à ce niveau-là, celui des plus hallucinés zélateurs du socialo-communisme, on ne peut même plus parler de sophismes –, insanités d’ailleurs partiellement contradictoires d’une citation à l’autre (une marque de fabrique du personnage), on remarque donc la manie obsessionnelle qu’a Onfray de tout ramener au « fascisme » (ou assimilés), qui revient sans cesse sous sa plume (Kant, Freud, Sade, Jésus, Alain…). Il est aussi, forcément, l’un des plus grands analphabètes économiques et donneurs de (mauvaises) leçons en la matière (voir par exemple ce qu’il écrivait en 2007 dans le quotidien communiste L’Humanité). On peut l’entendre également à l’occasion exposer de désolantes banalités contre la « société de consommation » et le « consumérisme »… Tout cela est indigne de quelqu’un qui fait profession d’observer, de lire, de réfléchir, de penser.
  • 3 ^  On constate que dans les années 2000, son soutien à « la gauche antilibérale qui est la plus unitaire possible » l’a amené à prendre parti pour des gens qui relèvent absolument de la « gauche des barbelés ». Mais il n’avait pas l’air de s’en rendre compte, ce qui en dit long sur sa non-compréhension de ce qu’est la liberté. Quand, en 2018, il vilipende comme il se doit le sinistre pitre Mélenchon, il fait mouche… mais c’est loin de suffire.
  • 4 ^  Ainsi, par exemple, en 2002, Michel Onfray publiait un livre à la gloire et en défense de l’absurdiste et esclavagiste Pierre Bourdieu (lire également ce qu’il écrivait en 2004 dans Le Monde diplomatique). Naturellement, on peut avoir une opinion à un moment donné, puis évoluer et changer d’opinion. Le (gros) problème, c’est qu’en 2018, Onfray n’a rien renié de son admiration pour le « grand » sociologue et n’a donc, de ce point de vue-là, toujours rien compris. On notera, à son (très relatif) crédit, qu’Onfray a fait venir Gaspard Koenig à son Université populaire de Caen. Mais ce n’est certes pas celui-ci – n’étant guère que semi/pseudo-libéral – qui pourra lui remettre les idées en place et l’amener à cesser de débiter d’insondables sottises sur le « libéralisme » ou le « néolibéralisme » (en particulier).
  • 5 ^  Onfray parle également favorablement de « capitalisme libertaire » (rien à voir dans son esprit avec le « libertarianisme »), sans qu’il nous explique s’il s’agit là de la même chose que le « socialisme libertaire » – si oui, pourquoi embrouiller les choses avec un autre terme ? – ou s’il est question d’un autre concept – dans ce cas, quelle est la différence ? Et pourquoi pas un « marché communaliste » ou une « mondialisation autogestionnaire » ? (Rappelons qu’il s’agit de la même personne qui parle sérieusement de « dictature libérale », de « libéralisme d’État », de « totalitarisme libéral » et même de « communisme libéral » !) Michel Onfray, maître du Grand Tout… et du n’importe quoi.


Liens externes (commentés)

  • La petite usine de Michel Onfray par Nicolas Chevassus-Au-Louis [En ayant à l’esprit le parti pris de gauche/gauchiste de l’auteur, qu’on voit poindre dans certaines remarques sur « l’air du temps réactionnaire », etc., mais par ailleurs des considérations éclairantes sur la « méthode Onfray » et notamment sur son rapport à la vérité et au rationalisme.]
  • Dr. Onfray et Mr. Homais par Laurent Dandrieu [Naturellement, l’auteur de cet article, catholique, conservateur, antimoderne (ainsi qu’il se définit lui-même) et par ailleurs admirateur de Jean-Claude Michéa, omet de noter l’anti-libéralisme obsessionnel et délirant d’Onfray… En outre, nous posons la question : les nombreuses et grossières erreurs historiques ou interprétatives de celui-ci, pointées par le catholique Jean-Marie Salamito (voir également cette autre recension, tout aussi catholique mais d’un autre point de vue idéologique, ainsi que cette série d’articles) invalident-elles la totalité des analyses d’Onfray sur le (judéo-)christianisme et l’histoire de l’Église – qui, en tout état de cause et même si on sait à quoi s’en tenir concernant sa (non-)rigueur intellectuelle, sont des sujets qu’il maîtrise moins mal que le « libéralisme » (en particulier), ne serait-ce que parce qu’il est tombé dedans quand il était petit ? Qu’il nous soit permis d’en douter. Quoi qu’il en soit, même si c’était le cas, cela ne prouverait pas la vérité du christianisme. Ce qui, par ailleurs, n’induit pas l’oubli ou le rejet de tout ce que la chrétienté a aussi produit de beau, de grand, de puissant et de partiellement fructueux pour la civilisation, à défaut de vrai et de juste.]
  • Michel Onfray, un libéral qui ne comprend rien au libéralisme ? par Gérard Dréan [Très bien dans l’ensemble, mais nous serons infiniment plus réservés, compte tenu de l’absurdisme récurrent d’Onfray, sur l’affirmation selon laquelle celui-ci afficherait « des positions parfaitement libérales » (quand c’est bien le cas, c’est plus ou moins par hasard, il peut dire le contraire ailleurs ou plus tard et en outre ses positions non libérales et anti-libérales sont quant à elles solidement établies). Par ailleurs, à mettre en relation avec cette courte chronique radiophonique d’Onfray, où l’on voit au passage que sa définition de « libertarien » est tout aussi médiocre et insensée que celle de « libéral » (on est loin d’une réflexion en profondeur sur la différence entre minarchisme et anarcho-capitalisme, par exemple celle-ci).]
  • Onfray et Houellebecq, pour le pire par Michel Brix [Des descriptions savoureuses et fort pertinentes du style et des méthodes de Michel Onfray. Accessoirement, on pourrait faire remarquer à l’auteur que la complaisance à l’égard de l’islam dans les milieux « bobo-gauchos » ciblés par Onfray est une réalité (naturellement, ça ne justifie pas toutes les attaques hors sujet et amalgames pratiqués par celui-ci), et on regrettera qu’il semble dupe de l’expression anti-conceptuelle « libéral-libertaire » (c’est également le cas de Gilles Mayné, mais c’est secondaire dans son propos). Ah bah tenez, justement. Mais nous n’aurons jamais sa réponse complète car « la suite de cette vidéo est réservée aux abonnés. L’abonnement vous permet d’accéder à l’ensemble des contenus de Michel Onfray. » Non ça ira, merci…]
  • Onfray : fin de partie entretien avec Élisabeth Roudinesco et Guillaume Mazeau [Nous ne partageons évidemment pas les présupposés et orientations idéologiques – de gauche, voire gauchistes – des deux intervenants et il y aurait à dire et à redire sur tels et tels de leurs propos, commentaires et jugements, mais par ailleurs beaucoup de vérités éloquentes sur la (calamiteuse) « méthode Onfray » et la stupéfiante imposture intellectuelle que le « toutologue » incarne à travers son œuvre et ses innombrables interventions médiatiques.]