« Sophisme de l’antonyme » : différence entre les versions
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* Le « [[service public]] », qui consiste à ''exempter'' des entreprises de servir le public. (Toute entreprise doit servir le public si elle ne veut pas faire faillite ; or une entreprise publique est financée par la contrainte, soit même par des gens qu’elle ne sert pas, et peut continuer à être financée même si elle ne sert plus personne.) | * Le « [[service public]] », qui consiste à ''exempter'' des entreprises de servir le public. (Toute entreprise doit servir le public si elle ne veut pas faire faillite ; or une entreprise publique est financée par la contrainte, soit même par des gens qu’elle ne sert pas, et peut continuer à être financée même si elle ne sert plus personne.) | ||
* les socialistes « [[anarcho-communistes]] » et « [[anarchistes conservateurs]] » qui veulent ''accroître'' le pouvoir de l’État. | * les socialistes « [[anarcho-communistes]] » et « [[anarchistes conservateurs]] » qui veulent ''accroître'' le pouvoir de l’État. |
Revision as of 26 February 2017 à 05:17
Le sophisme de l’antonyme est une forme extrême du sophisme de l’homme de paille inversé.
Il consiste à masquer un anti-concept sous un terme dont la définition opérationnelle raisonnable apparente en est le contraire complet.
Exemples
- Le « féminisme » contemporain, qui vise à réduire les droits des femmes.
- Le « service public », qui consiste à exempter des entreprises de servir le public. (Toute entreprise doit servir le public si elle ne veut pas faire faillite ; or une entreprise publique est financée par la contrainte, soit même par des gens qu’elle ne sert pas, et peut continuer à être financée même si elle ne sert plus personne.)
- les socialistes « anarcho-communistes » et « anarchistes conservateurs » qui veulent accroître le pouvoir de l’État.
- La « diversité culturelle », qui vise à réduire la diversité de choix culturel.
- Le « libéralisme réel » de Van Parijs, qui n’est qu’un vulgaire socialisme, et donc un faux libéralisme, un anti-libéralisme.