« Points de désaccord entre libéraux » : différence entre les versions

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*[[Débat sur l'intervention en Iraq]]
*[[Débat sur l'intervention en Iraq]]


*l'[[immigration]]
*[[Immigration]]


*'''le conflit israélo-palestinien'''
*'''le conflit israélo-palestinien'''

Revision as of 18 February 2006 à 09:47

  • le conflit israélo-palestinien
  • la (pseudo-)propriété intelectuelle : le désaccord ne porte pas sur la fraude, que les libéraux condamnent, ni sur le droit de chacun de garder secrètes les idées qu'il veut, ni sur le droit des producteurs de CD de les protéger techniquement contre la copie, ni sur le droit des consommateurs de boycotter lesdits producteurs pour les décourager à le faire, ni sur le droit du fabricant d'un produit à garder sa recette secrète. Le désaccord est entre d'une part ceux qui disent que si je fais une copie d'un CD et que je la donne à quelq'un, c'est un acte volontaire entre deux personnes consentantes qui ne concerne donc personne d'autre, et qui n'agresse personne d'autre, et donc personne n'a à s'en mêler; et d'autre part ceux qui considérent que le propriétaire d'un CD peut être tenu par contrat de ne pas en faire une copie, par le biais des licenses d'utilisation. Les premiers rétorquent aux seconds que de telles licenses sont de pures absurdités, cf. Faré et Geradon. Voir IP sur ORDRE.NET.
  • la peine de mort : désaccord sur le statu quo : certains considèrent que la possibilité de condamner à mort est un pouvoir trop dangereux pour l'Etat, d'autres estiment que le fait que des criminels dangereux soient nourris-logés-surveillés aux frais des contribuables, y compris leurs victimes, constitue un crime supplémentaire, qui ajouté au fait que l'Etat se montre souvent totalement irresponsable en libérant des récidivistes fait que la peine de mort vaudrait mieux. Désaccord pour une société libérale : la question est de savoir si la peine de mort rentre dans le cadre de la défense contre l'agression. Certains estiment que oui, car le meurtrier renonce au droit de vivre en ne le respectant pas chez autrui ; d'autres pensent que si le rôle de la police est de protéger la population, le rôle de la justice doit être de réparer le dommage, et que donc l'assassin devrait être condamné à des travaux forcés pour "rembourser" la famille de ses victimes. Enfin, d'aucuns laissent la question ouverte (David Friedman), considérant que c'est au marché (i.e., l'ensemble des choix individuels) de décider.