« Parasite social institutionnel » : différence entre les versions
Kae (discussion | contribs) Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
(19 versions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées) | |||
Line 1: | Line 1: | ||
Est un '''parasite social institutionnel''' quiconque vit par la force sur le dos des autres | Est un '''parasite social institutionnel''' (PSI) quiconque vit par la force sur le dos des autres de façon visible, constante et impunie. Les synonymes de « parasite social institutionnel » sont : « ''Übermensch'' légal », « rentier de la spoliation légale », « esclavagiste officiel », « exploiteur du peuple ». | ||
Les ''parasites sociaux institutionnels'' sont la '''caste supérieure du [[socialisme]]''', | Les ''parasites sociaux institutionnels'' sont la '''caste supérieure du [[socialisme]]''', forme contemporaine de l'''exploitation des faibles par les puissants'', la '''caste inférieure''' étant celle des producteurs-esclaves ou ''moujiks'' ([[Michel de Poncins]]). | ||
Les ''hommes de l' | Les ''hommes de l'État'' sont les parasites sociaux institutionnels les plus visibles, mais il existe en fait toute une hiérarchie de la [[spoliation légale]] : | ||
— au sommet se trouvent les [[HiFis]], | — au sommet se trouvent les [[HiFis]], les ''Hauts Fonctionnaires'', administrateurs du [[socialisme]] pseudo-démocratique ; les [[HiFis]] ne se livrent pas eux-mêmes à la violence criminelle dont ils vivent, ils en donnent l'ordre aux ''[[policiers]]'', qui sont des ''fonctionnaires'' à leurs ordres et ils manipulent celle des [[partenaires sociaux à part entière]] (cf. ''infra''). | ||
— en-dessous on trouve les ''fonctionnaires'' ordinaires, qui obéissent aux premiers. Vivre en permanence d'argent volé aux autres leur garantit l'emploi et la retraite. | |||
— Les ''syndicalistes'' aussi sont des parasites sociaux institutionnels, | — Les ''syndicalistes'' aussi sont des parasites sociaux institutionnels, à la fois parce que les ''privilèges de monopole'' que leur accorde la législation du travail leur permettent, quand ils travaillent encore, de gagner davantage aux dépens des autres salariés et de ceux qu'ils condamnent au chômage, et parce que ''les syndicats ne vivent plus que de subventions de l'État'', dont ils ne sont qu'un faux nez et auquel ils servent de prétexte pour ''servir encore moins les citoyens'' qui l'entretiennent. | ||
Les ''syndicalistes'' sont presque tous des ''partenaires sociaux à part entière'', c'est-à-dire qu' | Les ''syndicalistes'' sont presque tous des ''partenaires sociaux à part entière'', c'est-à-dire qu'ils peuvent en outre ''se livrer eux-mêmes impunément à des actes délictueux et criminels'', comme les [[policiers]] agissant sur ordre des [[HiFis]]. | ||
Les ''jeunes des banlieues'' sont en voie de devenir des ''partenaires sociaux à part entière'', | Les ''jeunes des banlieues'' sont en voie de devenir des ''partenaires sociaux à part entière'', avant de devenir ''fonctionnaires''. | ||
José Bové aspire lui aussi, | José Bové aspire lui aussi, apparemment en vain, au statut de ''partenaire social à part entière''. | ||
— Restent les parasites sociaux institutionnels qui ne sont pas des ''partenaires sociaux à part entière'' mais demeurent des ''Übermenschen légaux'' : ce sont les diverses ''catégories'' qui vivent d'argent légalement volé aux autres par les policiers et les juges aux ordres des [[HiFis]]. | |||
Cette caste comprend des gens incroyablement riches comme les propriétaires | Cette caste comprend des gens incroyablement riches comme les propriétaires fonciers agricoles qui empochent les subventions de la Politique Agricole de l'[[Union Européenne]]. | ||
On y trouve aussi des bourgeois petits et grands, comme ceux qui peuplent en majorité les logements subventionnés. | On y trouve aussi des bourgeois petits et grands, comme ceux qui peuplent en majorité les logements subventionnés. | ||
Elle comprend aussi des pauvres comme les ''jeunes des banlieues'' | Elle comprend aussi des pauvres comme les ''[[jeunes des banlieues]]'' qui, lorsqu'ils ne sont pas des ''[[partenaires sociaux à part entière]]'' sont quand même le plus généralement des ''Übermenschen légaux'', qui vivent d'aides sociales, de prétendus « services publics » pseudo-gratuits et autres subventions de l'État, et dont il est interdit de dire du mal sous peine d'être puni par les hommes de l'État. | ||
Le ''parasitisme social institutionnel'' s'autorise de divers discours sophistiques suivant la place du ''parasite'' dans la hiérarchie des ''Übermenschen légaux''. | Le ''parasitisme social institutionnel'' s'autorise de divers discours sophistiques suivant la place du ''parasite'' dans la hiérarchie des ''Übermenschen légaux''. Le plus général est le discours sur les prétendus « droits à » – « droit à l'éducation », « droit au logement », etc. – qui sont autant de ''[[pétitions de principe]] [[esclavagistes-absurdistes]]''. | ||
Dans une vraie démocratie, | Dans une vraie démocratie, tout ''parasite social institutionnel'' serait inéligible et privé de tout droit de vote par une clause constitutionnelle interdisant le [[conflit d'intérêts]]. | ||
==Voir également== | |||
'''[[Caste exploiteuse]]''' | |||
[[Category:Politique]] |
Version actuelle datée du 29 June 2023 à 14:25
Est un parasite social institutionnel (PSI) quiconque vit par la force sur le dos des autres de façon visible, constante et impunie. Les synonymes de « parasite social institutionnel » sont : « Übermensch légal », « rentier de la spoliation légale », « esclavagiste officiel », « exploiteur du peuple ».
Les parasites sociaux institutionnels sont la caste supérieure du socialisme, forme contemporaine de l'exploitation des faibles par les puissants, la caste inférieure étant celle des producteurs-esclaves ou moujiks (Michel de Poncins). Les hommes de l'État sont les parasites sociaux institutionnels les plus visibles, mais il existe en fait toute une hiérarchie de la spoliation légale :
— au sommet se trouvent les HiFis, les Hauts Fonctionnaires, administrateurs du socialisme pseudo-démocratique ; les HiFis ne se livrent pas eux-mêmes à la violence criminelle dont ils vivent, ils en donnent l'ordre aux policiers, qui sont des fonctionnaires à leurs ordres et ils manipulent celle des partenaires sociaux à part entière (cf. infra).
— en-dessous on trouve les fonctionnaires ordinaires, qui obéissent aux premiers. Vivre en permanence d'argent volé aux autres leur garantit l'emploi et la retraite.
— Les syndicalistes aussi sont des parasites sociaux institutionnels, à la fois parce que les privilèges de monopole que leur accorde la législation du travail leur permettent, quand ils travaillent encore, de gagner davantage aux dépens des autres salariés et de ceux qu'ils condamnent au chômage, et parce que les syndicats ne vivent plus que de subventions de l'État, dont ils ne sont qu'un faux nez et auquel ils servent de prétexte pour servir encore moins les citoyens qui l'entretiennent.
Les syndicalistes sont presque tous des partenaires sociaux à part entière, c'est-à-dire qu'ils peuvent en outre se livrer eux-mêmes impunément à des actes délictueux et criminels, comme les policiers agissant sur ordre des HiFis. Les jeunes des banlieues sont en voie de devenir des partenaires sociaux à part entière, avant de devenir fonctionnaires. José Bové aspire lui aussi, apparemment en vain, au statut de partenaire social à part entière.
— Restent les parasites sociaux institutionnels qui ne sont pas des partenaires sociaux à part entière mais demeurent des Übermenschen légaux : ce sont les diverses catégories qui vivent d'argent légalement volé aux autres par les policiers et les juges aux ordres des HiFis.
Cette caste comprend des gens incroyablement riches comme les propriétaires fonciers agricoles qui empochent les subventions de la Politique Agricole de l'Union Européenne.
On y trouve aussi des bourgeois petits et grands, comme ceux qui peuplent en majorité les logements subventionnés.
Elle comprend aussi des pauvres comme les jeunes des banlieues qui, lorsqu'ils ne sont pas des partenaires sociaux à part entière sont quand même le plus généralement des Übermenschen légaux, qui vivent d'aides sociales, de prétendus « services publics » pseudo-gratuits et autres subventions de l'État, et dont il est interdit de dire du mal sous peine d'être puni par les hommes de l'État.
Le parasitisme social institutionnel s'autorise de divers discours sophistiques suivant la place du parasite dans la hiérarchie des Übermenschen légaux. Le plus général est le discours sur les prétendus « droits à » – « droit à l'éducation », « droit au logement », etc. – qui sont autant de pétitions de principe esclavagistes-absurdistes.
Dans une vraie démocratie, tout parasite social institutionnel serait inéligible et privé de tout droit de vote par une clause constitutionnelle interdisant le conflit d'intérêts.