Reichsarbeitsdienst
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Le Reichsarbeitsdienst (Service du travail pour l’empire) est un travail d’ordre non-militaire imposé par la violence aux citoyens d’un État socialiste (socialiste par définition, puisque ne respectant pas le droit de propriété le plus élementaire de l’être humain sur sa personne, sa liberté de mouvement, la libre disposition de son temps et du fruit de son travail). C’est une forme d’agression et d’esclavage. Il est imposé soit à l’ensemble des citoyens, soit à des citoyens désignés par piloufacie ou selon des critères arbitraires.
Les socialistes sont toujours prêts à critiquer les bas salaires des régimes capitalistes, mais le travail non-rémunéré et forcé ne les a jamais dérangés.
Exemples
- Reichsarbeitsdienst, dans l’allemagne national-socialiste
- subbotniki dans l’URSS
- le Gulag, dans l’URSS, peut également être classé dans cette catégorie, vu la part importante de la population qui est passée par lui, la nature tout aussi arbitraire des condamnations (voir piloufacie) ainsi que la part importante qu’il jouaient dans l’économie socialiste [1]
- Action Z en Tchécoslovaquie socialiste
- Service du travail obligatoire dans la France de Vichy
- En France, en 2017, la plupart des candidats du parti socialiste proposent la ré-introduction d’un tel système [2], qui serait naturellement civil, civique, citoyen, et surtout républicain. (« Chantiers républicains », sic).
- En Suisse, « l’Association pour la promotion du service citoyen » [3], le think tank (ipso facto) pseudo-libéral Avenir Suisse [4], et (le feu non-regretté torchon gauchiste) l’Hebdo [5] proposent d’étendre l’actuelle conscription aux femmes, voire aux étrangers, (voir égalité de traitement), rendre « libre » le choix entre esclavage militaire et non-militaire, et, bien entendu, ajouter l’adjectif magique « citoyen ».