Pauvrisme

From Liberpédia
Révision datée du 29 June 2017 à 10:33 par Turion (discussion | contribs)
(diff) ←Older revision | view current revision (diff) | Newer revision→ (diff)

Le pauvrisme est une technique du nazisme social, cette négation des Droits de l’homme que l’on présente comme « riche », et qui consiste, plutôt qu’à nier ce Droit —ce qui est bien son intention, à exalter les « pauvres » et à leur inventer toutes sortes de « droits » qui, à défaut de pouvoir leur être garantis, impliquent forcément de voler le « riche » et donc de nier ses Droits.

le pouvoir illimité de la majorité entretient le pauvrisme

La règle de procédure que la pseudo-démocratie socialiste privilégie pour nier dans leur principe tous les Droits de ses victimes en faisant accepter sa fausse conception, communiste, de la légitimité politique, est le pouvoir illimité de la majorité, où il suffit que la moitié de l’électorat, ou le plus souvent ses soi-disant « représentants » (bien davantage enclins à voler les autres) décident, pour avoir soi-disant le Droit pour eux.

Le pouvoir illimité de la majorité entraîne naturellement le slogan :

« vous avez juridiquement tort parce que vous êtes politiquement minoritaires »

Il implique bien la fausse conception du Droit, communiste, de la pseudo-démocratie socialiste puisqu’aucun Droit n’y est à l’abri des usurpations de la majorité ou prétendue telle.

Dans la mesure où le pseudo-démocrate socialiste se maintient au pouvoir en distribuant de l’argent volé à ses clientèles électorales, la rivalité électorale le forcera à distribuer autant d’argent qu’il pourra en voler, sinon d’autres démagogues le battront sur ce point.

Evidemment, le démagogue électoraliste ne dit pas toujours d’où vient l’argent volé qu’il distribue à ses clientèles mais celles-ci sont censées comprendre qu’il est volé aux autres, et pour le faire croire s’en prendre ostensiblement à une minorité choisie comme bouc émissaire est un procédé d’illusion fiscale dont il ne se prive pas.

De toutes façons, c’est ce à quoi la rivalité électorale le pousse en permanence : dans la mesure où le pseudo-démocrate socialiste doit constituer une majorité pour parvenir au pouvoir, et doit distribuer autant de butin que possible aux receleurs qu’il a choisi comme base électorale, il ne s’ensuit pas seulement que l’électeur médian, celui qui représente la différence entre la majorité et la minorité, est un véritable dictateur de la pseudo-démocratie socialiste, il s’ensuit aussi que, quelle que soit la coalition majoritaire, celle-ci doit paraître voler les riches davantage que les pauvres et pour ce faire, pratiquer un nazisme social ostensible contre les « riches ».

C’est pourquoi les coalitions de droite comme les coalitions de gauche le pratiquent, ce nazisme social, bafouant ceux de leurs électeurs qui s’y opposent. Ils maintiennent les impôts de la haine et reconnaissent les prétendus droits sociaux, distribuant ostensiblement de l’argent volé et autres privilèges aux « pauvres » supposés.

Et, en dépit du fait que la théorie marxiste de l’« exploitation » est réfutée depuis belle lurette, l’élu de la pseudo-démocratie socialiste doit parler des « riches » comme s’ils étaient des exploiteurs et donc comme si leur « richesse » était volée aux « pauvres », ce qui justifierait de la leur « reprendre ». Ce phénomène digne du chat de Cheshire dans Alice au pays des merveilles, d’une calomnie ignoble qui perdure alors que plus personne ne croit aux raisonnements et allégations qui prétendaient la fonder, est caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste.

Dans le socialisme hitlérien et autres formes du nazisme racial, cette minorité est raciale ou religieuse ; dans le nazisme social de la pseudo-démocratie socialiste, ce sont les « riches » : d’où le discours de guerre civile et les impôts de la haine institués à leur encontre.