Discrimination

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Discriminer veut dire "distinguer".

Les esclavagistes-absurdistes emploient le mot "discrimination" en lieu et place du mot "justice" pour désorienter leurs dupes, qui savent ce que c'est que la justice naturelle parce qu'ils la pratiquent sans arrêt dans leur vie normale, et que c'est cette justice naturelle que l'esclavagisme-absurdisme veut mettre à bas.

Le but de l'anti-concept politique de "discrimination" est donc de vider de son sens la notion de justice dans l'esprit de ses dupes, pour le remplacer par une fausse définition dont les esclavagistes-absurdistes et eux seuls seront les maîtres.

Ainsi, le socialisme pseudo-démocratique passe son temps à faire violence aux uns au profit supposé des autres, mais ses adeptes ne reconnaîtront jamais comme une "discrimination" cette série de violences criminelles, cette réduction des producteurs en esclavage au profit supposé d'Übermenschen légaux.

En revanche, que les personnes singulières veuillent exercer leur Droit d'inviter ou de ne pas inviter chez eux qui bon leur semble, ou d'entrer ou non en relation avec un autre, et voilà que les esclavagistes-absurdistes au pouvoir crieront à la "discrimination" si cet exercice paisible d'un Droit de l'homme déplaît à l'une ou l'autre des catégories qu'ils ont choisi de privilégier.

Comme toutes les dénaturations du sens des mots auxquelles se livrent les esclavagistes-absurdistes, l'anti-concept politique de "discrimination" présente deux caractéristiques et, comme les bonbons Kiss-cool, vise à un double effet :

— Pour qu'un faux concept esclavagiste-absurdiste puisse faire de bonnes dupes, il doit conserver un lien résiduel avec la réalité, être susceptible d'une interprétation raisonnable, de manière à ce que cet alibi véridique cautionne l'escroquerie intellectuelle qui est sa raison d'être. Ainsi, les esclavagistes-absurdistes feront tout pour mêler des exemples d'injustice authentique à ce qu'ils appellent "discrimination". Par exemple, ils s'arrangeront pour éviter, voire empêcher de penser toute distinction entre le racisme qui est une préférence et le nazisme qui est une forme particulièrement violente de criminalité d'état dont le racisme est le prétexte.

— La dénaturation des concepts politiques par l'esclavagisme-absurdisme vise :

dans un premier temps, à faire croire que ses agressions criminelles respectent les règles de justice, en faisant semblant de traiter tout le monde également, alors que l'esclavagisme-absurdisme fait nécessairement des esclaves qui sont les Untermenschen légaux de son système, et des esclavagistes qui sont ses Übermenschen légaux, crée nécessairement une caste de privilégiés qui vivent par la force sur le dos des autres et une caste de moujiks sans défense qui ne peuvent que se laisser dépouiller.
On parvient à ce résultat en faisant perdre de vue ce sur quoi doit porter l'universalité de la règle de droit, à savoir la propriété légitime, en détournant l'attention sur des critères qui ne peuvent ni ne doivent être uniformisés, comme le revenu dans l'imposture la plus fruste, et les chances' dans le sophisme le plus compliqué.
Dans un second temps, quand l'anti-concept aura suffisamment fait oublier que la définition immémoriale de la justice est d'interdire de voler ou agresser les autres, on pourra mettre en avant le prétexte de la "discrimination" pour interdire aux malheureux moujiks l'exercice paisible de ce qui reste de leurs Droits résiduels sous prétexte de les empêcher de discriminer.
Dans ce cas le "truc", comme disait Ayn Rand, consiste à
"reprocher aux particuliers des actes qui ne peuvent être injustes que si ce sont les hommes de l'état qui s'y livrent".
En faisant ainsi mine de prendre les gens normaux pour des fonctionnaires on peut les enrégimenter de force au service des lubies totalitaires de l'esclavagisme-absurdisme.

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