Socialo-sadisme
Le socialo-sadisme est une affection des socialistes méchants. Le socialo-sadique prend tellement de plaisir à faire du mal aux autres qu'il fera non seulement de la destruction gratuite, du vandalisme, mais sera même prêt à supporter des coûts, voire souffrir lui-même pour y parvenir, parfois même à endurer exactement la même souffrance qu'il imposera à ses victimes.
Une des conséquences de l'esclavagisme-absurdisme est de faire oublier tout raisonnement économique au point de ne plus voir de différence création et destruction, production et vol. Dans sa version soft, chez les victimes de l'a-pensée communiste, le socialo-sadisme se traduit par la jalousie : si mon voisin a une belle voiture, c'est qu'il me l'a volée. Si ja la détruis, c'est un peu comme si je la reprenais.
Une blague bien connue dans les pays communistes est ainsi la suivante :
- Deux voisins ont chacun une chèvre qui leur fourni du lait. La chèvre de l'un d'entre eux meurt soudain. Celui-ci prie alors Dieu de l'aider. Ses prières sont exaucées, et Dieu lui demande :
- - J'ai entendu tes prières. Très bien, je t'exaucerai donc un souhait. Que désires-tu ? Une nouvelle chèvre ? Dix nouvelles chèvres ? Du lait pour toujours ?
- - Non Seigneur, répond le paysan. Je veux juste que la chèvre de mon voisin crève aussi.