Films libéraux
ABCD
- A Clockwork Orange de Stanley Kubrick d'après le roman d'Anthony Burgess.
- After Hours de Martin Scorsese.
- All Quiet On The Western Front.
- Apocalypse Now de Francis Ford Coppola d'après le roman de Joseph Conrad.
- Batman de Tim Burton.
- Billy Elliot de Stephen Daldry.
- The Big Lebowski des frères Coen.
- Braveheart de Mel Gibson.
- Brazil de Terry Gilliam.
- Articles sur le sujet : Brazil and the Economic Problems of Socialism
- Chicken Run de Peter Lord et Nick Park
Ginger: So laying eggs all your life and then getting plucked, stuffed, and roasted is good enough for you is it?
Babs: It's a living.
Ginger: You know what the problem is? The fences aren't just around the farm, they're up here, in your heads. There's a better place out there, somewhere beyond that hill, and it has wide open spaces, and lots of trees and grass! Can you imagine that? Cool, green grass.
Misc. Chicken #1: Who feeds us?
Ginger: We feed ourselves.
Misc. Chicken #2: Where's the farm?
Ginger: There is no farm!
Babs: Then where does the farmer live?
Ginger: There is no farmer, Babs.
Babs: Is he on holiday?
Ginger: He isn't anywhere! Don't you get it?! There's no morning egg count, no farmers, no dogs and coops and keys and *no* fences!
- Casablanca de Michael Cutiz.
- Cool Hand Luke.
I ain't heard that much worth listening to. Just a lot of guys laying down a lot of rules and regulations.
- Sorry Luke, I'm just doing my job, you gotta appreciate that.
- Calling it your job don't make it right, boss.
- Contactde Robert Zemeckis voir la critique de CPS.
- Cubede Vincenzo Natali.
- Dark City de Alex Proyas.
- Death Wish de Michael Winner.
Avec Charles Bronson, traite de la légitime défense et de l'incapacité de l'Etat à assurer la sécurité.
- Deer Hunter de Michael Cimino.
- Demolition Man de Marco Brambilla.
- Dirty Harry de Clint Eastwood.
- Les Douze Travaux d'Astérix de René Goscinny et Albert Urderzo.
La plus difficile épreuve d'Astérix: vaincre les formalités administratives de la « maison qui rend fou »
César propose aux gaulois de leur donner l'empire romain s'ils arrivent à bout de douzes tâches surhumaines, comme Hercule. S'ils perdent, ils doivent se rendre. La plupart du temps, ils arrivent à bout des épreuves grâce à la potion magique de Panoramix. L'épreuve la plus dure est celle de l'administration romaine, et cette satire est l'intérêt principal du film.
On peut y voir l'administration telle qu'elle était souvent présentée dans l'imagerie populaire, avec son absurdité, ses laissez-passer, ses formulaires et ses couloirs sans fin. Se moquer de l'administration et des impôts a toujours été pratiqué dans l'humour populaire, et était très bien acceptée par le public de l'époque. Si il sortait aujourd'hui ce dessin animé serait probablement dénoncé comme un dangereux hymne poujadiste ultralibéral destiné à laver le cerveau des enfants pour en faire meilleurs consommateurs et de moins bons citoyens.
- Dr. Strangelove de Stanley Kubrick.
- Duck Soupdes Marx Brothers .
EFGHIJK
- Equilibrium de Kurt Wimmer.
Dans un monde totalitaire les émotions sont interdites, ainsi que tout ce qui peut les provoquer, comme l'art. Les scènes de flics débarquant chez des gens dont le seul "crime" est d'avoir gardé un Da Vinci sont à mettre en parallèle avec la réalité de flics débarquant chez des gens dont le seul crime est d'avoir de la "drogue". D'autre part, dans le film, le chef de l'Etat totalitaire, donc le plus virulent anti-émotion, a lui-même une salle richement décorée, donc illégale ! Comme c'est souvent la cas dans la réalité avec les politiques : alors que les dirigeants des Etats communistes sont les plus prompts à critiquer la société de consommation bourgeoise, eux-même vivent dans le luxe ! Le film semble par ailleurs fortement influencé par Metropolis et Dark City.
Une critique du film par Lafronde
- Escape from LA de John Carpenter.
Le héors, Snake Plisken, joué par Kurt Russell, s'oppose tant à la théocratie dictatoriale qu'aux communistes tiers-mondistes.
- Fahrenheit 451 de François Truffaut d'après Ray Bradbury.
- Festen de Thomas Vinterberg.
Le meilleur film Dogma: une fable noire sur le « retour du refoulé »
Tourné selon le vœu de chasteté initié par Vinterberg et Lars Von Trier, c'est à dire en DV, caméra à l'épaule et sans aucun artifice, le film raconte l'histoire de Christian, un jeune suédois qui revient à la maison de famille pour les 60 ans de son père, un patriarche respecté, deux mois après la mort de sa sœur jumelle. Il y retrouve toute sa famille, son frère et son autre sœur, en couple avec un noir, qui doit affronter le racisme de la famille. Lors du dîner, il propose à son père de faire un choix entre deux enveloppes qui contiennent chacun un discours différent, et le père tombe sur le « discours de la vérité ». Ce que Christian veut révéler est si horrible que personne ne veut l'entendre. Il se fait rejeter, attacher à un arbre dans le jardin et finit par révéler l'horrible secret que tait la famille.
Le film montre la lutte de l'individu contre la collectivité, pour faire éclater la vérité. Il met en scène de façon brillante les mécanismes grâce auquel le groupe tente d'écraser l'homme seul qui sait ce qui est vrai et peut bouleverser son ordre en faisant de lui son bouc-émissaire.
- [1].
- Full Metal Jacket de Stanley Kubrick.
- Enemy of the State de Tony Scott.
- Elephant Man de David Lynch.
- Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick.
- The Fountainhead de King Vidor d'après Ayn Rand.
- Gangs of New York de Martin Scorsese.
Contre la conscription et se moque de la corruption de la démocratie. Articles sur le sujet :
Gangs and Governments
Anti-Lincoln Gangs of New York
Jacobin Yankees
On Gangs of New York
Gangs of New York, sur Entrez Libres
- Gattaca de Andrew Niccol.
- Ghost Busters de Ivan Reitman.
- The Godfather de Francis Ford Coppola.
- The Great Dictator de Charlie Chaplin.
- The Hudsucker Proxy des frères Coen.
- Harry, un ami qui vous veut du bien de Dominik Moll.
- Les Invasions barbares de Denys Arcand.
- Johnny Got His Gun de Dalton Trumbo.
- Kafka de Steven Soderbergh.
LMNOPQR
- Logan's Run de Michael Anderson.
- Lolita de Stanley Kubrick d'après Vladimir Nabokov.
- Minority Report de Steven Spielberg.
- Monty Python and the Holy Grail de Terry Gilliam et Terry Jones.
- who lives in that castle ?
- no one lives there
- then who is your lord ?
- we don't have a lord
- I told you. we're an anarcho-syndicalist commune
[...]
- Be quiet ! I order you to be quiet !
- Order ? Who do he thinks he is ?
- I am your king !
- Well, I didn't vote for you.
- you don't vote for kings.
- Mulholland Falls de Lee Tamahori.
Un film sur la nature corruptrice du Pouvoir.
La philosophie du mal résumée en ces termes randiens:
"The cornerstone of civilization is human sacrifice."
- Nineteen Eighty-Four de Michael Radford d'après George Orwell.
- No Man's Land de Denis Tanovic.
A un moment, il y a la radio qui annonce quelque chose du genre "while civilians can't buy firearms to defend themselves because of the embargo on weapons"
- One Flew Over the Cuckoo's Nest de Milos Forman.
- The Outlaw Josey Wales de Clint Eastwood.
- Paths of Glory de Stanley Kubrick.
- Le Procès d'Orson Welles d'après Franz Kafka.
STUVWXYZ
- Schindler's List de Steven Spielberg.
- The Shawshank Redemption de Frank Darabont d'après l'excellente novella "Rita Hayworth and Shawshank Redemption" de Stephen King.
- Sin City.
- Soylent Green de Richard Fleischer.
- South Park: Bigger Longer & Uncut de Trey Parker et Matt Stone.
- Spartacus de Stanley Kubrick.
- Star Wars de George Lucas.
Star Wars Revisited
Star Wars and Our Wars
Tatooine Is the Star Wars Ancapistan, Part I
Jawas, Hutts, and Counter-Economics
- Starship Troopers de Paul Verhoeven d'après Robert A. Heinlein.
- Three Kings de David O. Russell.
- THX 1138 de George Lucas.
- The Aviator de Martin Scorsese
- Traffic de Steven Soderbergh.
- Truman Show de Peter Weir.
- Tucker: The Man and His Dream de Francis Ford Coppola.
- Wag The Dog de Barry Levinson.
- Wild At Heart de David Lynch d'après le roman de Barry Gifford.
Séries TV libérales.
- The Prisoner (TV) de Patrick Mc Goohan.
- South Park de Trey Parker et Matt Stone.
If somebody kills somebody, it's a crime, but if somebody kills somebody of a different race, it's a hate crime. And we think that that is a savage hypocrisy, because all crimes are hate crimes. If a man beats another man because that man was sleeping with his wife, is that not a hate crime? If a person vandalizes a government building, is it not because of his hate for the government? The motivation for a crime shouldn't affect the sentencing.
It is time to stop splitting people into groups. All hate crime laws do is support the idea that blacks are different from whites, that homosexuals are different, that we aren't the same. But instead we should all be treated the same, with the same laws and the same punishments for the same crimes.
The South Park kids
Gerald: You see, Kyle, we live in a liberal democratic society. And Democrats make sexual harassment laws. These laws tell us what we can and can't say in the workplace and what we can and can't do in the workplace.
Kyle: Isn't that fascism?
Gerald: No! Because we don't call it fascism. Do you understand?
Kyle: Do you?
- Futurama de Matt Groening.
- The Simpsons de Matt Groening.
concurrence :
libertarian movies
an-cap movies
Origine : Blogorrhée