Films libéraux

From Liberpédia
Révision datée du 18 December 2005 à 05:14 par Turion (discussion | contribs)

ABCD

A Clockwork Orange de Stanley Kubrick d'après le roman d'Anthony Burgess
After Hours de Martin Scorsese
All Quiet On The Western Front
Apocalypse Now de Francis Ford Coppola d'après le roman de Joseph Conrad
Batman de Tim Burton
Billy Elliot de Stephen Daldry
The Big Lebowski des frères Coen
Braveheart de Mel Gibson
Brazil de Terry Gilliam.

Articles sur le sujet :
Brazil and the Economic Problems of Socialism
Chicken Run de Peter Lord et Nick Park

Ginger: So laying eggs all your life and then getting plucked, stuffed, and roasted is good enough for you is it?
Babs: It's a living.
Ginger: You know what the problem is? The fences aren't just around the farm, they're up here, in your heads. There's a better place out there, somewhere beyond that hill, and it has wide open spaces, and lots of trees and grass! Can you imagine that? Cool, green grass.
Misc. Chicken #1: Who feeds us?
Ginger: We feed ourselves.
Misc. Chicken #2: Where's the farm?
Ginger: There is no farm!
Babs: Then where does the farmer live?
Ginger: There is no farmer, Babs.
Babs: Is he on holiday?

Ginger: He isn't anywhere! Don't you get it?! There's no morning egg count, no farmers, no dogs and coops and keys and *no* fences!

Casablanca de Michael Cutiz
Cool Hand Luke

I ain't heard that much worth listening to. Just a lot of guys laying down a lot of rules and regulations.

- Sorry Luke, I'm just doing my job, you gotta appreciate that.

- Calling it your job don't make it right, boss.


Contactde Robert Zemeckis
voir la critique de CPS
Cubede Vincenzo Natali
Dark City de Alex Proyas
Death Wish de Michael Winner
Avec Charles Bronson, traite de la légitime défense et de l'incapacité de l'Etat à assurer la sécurité.
Deer Hunter de Michael Cimino
Demolition Man de Marco Brambilla
Dirty Harry de Clint Eastwood
Les Douze Travaux d'Astérix de René Goscinny et Albert Urderzo
La plus difficile épreuve d'Astérix: vaincre les formalités administratives de la « maison qui rend fou »
César propose aux gaulois de leur donner l'empire romain s'ils arrivent à bout de douzes tâches surhumaines, comme Hercule. S'ils perdent, ils doivent se rendre. La plupart du temps, ils arrivent à bout des épreuves grâce à la potion magique de Panoramix. L'épreuve la plus dure est celle de l'administration romaine, et cette satire est l'intérêt principal du film.
On peut y voir l'administration telle qu'elle était souvent présentée dans l'imagerie populaire, avec son absurdité, ses laissez-passer, ses formulaires et ses couloirs sans fin. Se moquer de l'administration et des impôts a toujours été pratiqué dans l'humour populaire, et était très bien acceptée par le public de l'époque. Si il sortait aujourd'hui ce dessin animé serait probablement dénoncé comme un dangereux hymne poujadiste ultralibéral destiné à laver le cerveau des enfants pour en faire meilleurs consommateurs et de moins bons citoyens.
Dr. Strangelove
de Stanley Kubrick
Duck Soupdes Marx Brothers

EFGHIJK

Equilibrium de Kurt Wimmer
Dans un monde totalitaire les émotions sont interdites, ainsi que tout ce qui peut les provoquer, comme l'art. Les scènes de flics débarquant chez des gens dont le seul "crime" est d'avoir gardé un Da Vinci sont à mettre en parallèle avec la réalité de flics débarquant chez des gens dont le seul crime est d'avoir de la "drogue". D'autre part, dans le film, le chef de l'Etat totalitaire, donc le plus virulent anti-émotion, a lui-même une salle richement décorée, donc illégale ! Comme c'est souvent la cas dans la réalité avec les politiques : alors que les dirigeants des Etats communistes sont les plus prompts à critiquer la société de consommation bourgeoise, eux-même vivent dans le luxe ! Le film semble par ailleurs fortement influencé par Metropolis et Dark City.

Une critique du film par Lafronde
Escape from LA de John Carpenter
Le héors, Snake Plisken, joué par Kurt Russell, s'oppose tant à la théocratie dictatoriale qu'aux communistes tiers-mondistes.
Fahrenheit 451 de François Truffaut d'après Ray Bradbury
Festen de Thomas Vinterberg
Le meilleur film Dogma: une fable noire sur le « retour du refoulé »
Tourné selon le vœu de chasteté initié par Vinterberg et Lars Von Trier, c'est à dire en DV, caméra à l'épaule et sans aucun artifice, le film raconte l'histoire de Christian, un jeune suédois qui revient à la maison de famille pour les 60 ans de son père, un patriarche respecté, deux mois après la mort de sa sœur jumelle. Il y retrouve toute sa famille, son frère et son autre sœur, en couple avec un noir, qui doit affronter le racisme de la famille. Lors du dîner, il propose à son père de faire un choix entre deux enveloppes qui contiennent chacun un discours différent, et le père tombe sur le « discours de la vérité ». Ce que Christian veut révéler est si horrible que personne ne veut l'entendre. Il se fait rejeter, attacher à un arbre dans le jardin et finit par révéler l'horrible secret que tait la famille.
Le film montre la lutte de l'individu contre la collectivité, pour faire éclater la vérité. Il met en scène de façon brillante les mécanismes grâce auquel le groupe tente d'écraser l'homme seul qui sait ce qui est vrai et peut bouleverser son ordre en faisant de lui son bouc-émissaire.
[1]
Full Metal Jacket de Stanley Kubrick
Enemy of the State de Tony Scott
Elephant Man de David Lynch
Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick
The Fountainhead de King Vidor d'après Ayn Rand
Gangs of New York
de Martin Scorsese
Contre la conscription et se moque de la corruption de la démocratie. Articles sur le sujet :
Gangs and Governments
Anti-Lincoln Gangs of New York
Jacobin Yankees
On Gangs of New York
Gangs of New York, sur Entrez Libres
Gattaca de Andrew Niccol
Ghost Busters de Ivan Reitman
The Godfather de Francis Ford Coppola
The Great Dictator de Charlie Chaplin
The Hudsucker Proxy des frères Coen
Harry, un ami qui vous veut du bien de Dominik Moll
Les Invasions barbares de Denys Arcand
Johnny Got His Gun de Dalton Trumbo
Kafka de Steven Soderbergh

LMNOPQR

Logan's Run de Michael Anderson
Lolita de Stanley Kubrick d'après Vladimir Nabokov
Minority Report de Steven Spielberg
Monty Python and the Holy Grail de Terry Gilliam et Terry Jones

- who lives in that castle ?
- no one lives there
- then who is your lord ?
- we don't have a lord
- I told you. we're an anarcho-syndicalist commune
[...]
- Be quiet ! I order you to be quiet !
- Order ? Who do he thinks he is ?
- I am your king !
- Well, I didn't vote for you.

- you don't vote for kings.

Mulholland Falls de Lee Tamahori
Un film sur la nature corruptrice du Pouvoir. La philosophie du mal résumée en ces termes randiens: "The cornerstone of civilization is human sacrifice."
Nineteen Eighty-Four de Michael Radford d'après George Orwell
No Man's Land de Denis Tanovic
A un moment, il y a la radio qui annonce quelque chose du genre "while civilians can't buy firearms to defend themselves because of the embargo on weapons"
One Flew Over the Cuckoo's Nest de Milos Forman
The Outlaw Josey Wales de Clint Eastwood
Paths of Glory de Stanley Kubrick
Le Procès d'Orson Welles d'après Franz Kafka

STUVWXYZ

Schindler's List de Steven Spielberg
The Shawshank Redemption de Frank Darabont d'après l'excellente novella "Rita Hayworth and Shawshank Redemption" de Stephen King
Sin City
Soylent Green de Richard Fleischer
South Park: Bigger Longer & Uncut de Trey Parker et Matt Stone
Spartacus de Stanley Kubrick
Star Wars de George Lucas
Star Wars Revisited
Star Wars and Our Wars
Tatooine Is the Star Wars Ancapistan, Part I
Jawas, Hutts, and Counter-Economics
Starship Troopers de Paul Verhoeven d'après Robert A. Heinlein
Three Kings de David O. Russell
THX 1138 de George Lucas
Traffic de Steven Soderbergh
Truman Show de Peter Weir
Tucker: The Man and His Dream de Francis Ford Coppola
Wag The Dog de Barry Levinson
Wild At Heart de David Lynch d'après le roman de Barry Gifford



Séries TV libérales.

The Prisoner (TV)
de Patrick Mc Goohan
South Park
de Trey Parker et Matt Stone

If somebody kills somebody, it's a crime, but if somebody kills somebody of a different race, it's a hate crime. And we think that that is a savage hypocrisy, because all crimes are hate crimes. If a man beats another man because that man was sleeping with his wife, is that not a hate crime? If a person vandalizes a government building, is it not because of his hate for the government? The motivation for a crime shouldn't affect the sentencing.
It is time to stop splitting people into groups. All hate crime laws do is support the idea that blacks are different from whites, that homosexuals are different, that we aren't the same. But instead we should all be treated the same, with the same laws and the same punishments for the same crimes.
The South Park kids

Gerald: You see, Kyle, we live in a liberal democratic society. And Democrats make sexual harassment laws. These laws tell us what we can and can't say in the workplace and what we can and can't do in the workplace.
Kyle: Isn't that fascism?
Gerald: No! Because we don't call it fascism. Do you understand?
Kyle: Do you?

Futurama
de Matt Groening
The Simpsons
de Matt Groening
La satire politique des Simpson
Les Simpson récidivent


concurrence :


libertarian movies
an-cap movies

Origine : Blogorrhée