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Dans la mesure où le pseudo-démocrate socialiste parvient au pouvoir en constituant une majorité, et doit distribuer autant de butin que que possible à ses receleurs, il ne s'ensuit pas seulement que l'électeur médian, celui qui représente la différence entre la majorité et la minorité, est un véritable dictateur de la pseudo-démocratie socialiste, il s'ensuit aussi que, quelle que soit la coalition majoritaire, ''celle-ci doit paraître voler les riches davantage que les pauvres'' et pour ce faire, pratiquer le [[nazisme social]] contre les "riches". | Dans la mesure où le pseudo-démocrate socialiste parvient au pouvoir en constituant une majorité, et doit distribuer autant de butin que que possible à ses receleurs, il ne s'ensuit pas seulement que l'électeur médian, celui qui représente la différence entre la majorité et la minorité, est un véritable dictateur de la pseudo-démocratie socialiste, il s'ensuit aussi que, quelle que soit la coalition majoritaire, ''celle-ci doit paraître voler les riches davantage que les pauvres'' et pour ce faire, pratiquer le [[nazisme social]] contre les "riches". | ||
C'est pourquoi les coalitions de droite comme les coalitions de gauche le pratiquent, ce [[nazisme social]], trahissant ceux de leurs électeurs qui s'y opposent. Ils maintiennent les [[impôts de la haine]] | C'est pourquoi les coalitions de droite comme les coalitions de gauche le pratiquent, ce [[nazisme social]], trahissant ceux de leurs électeurs qui s'y opposent. Ils maintiennent les [[impôts de la haine]] et reconnaissent les prétendus [[droits sociaux]], distribuant ostensiblement de l'argent volé et autres privilèges aux "pauvres" supposés. | ||
Et, en dépit du fait que la théorie marxiste de l'"exploitation" est réfutée depuis belle lurette, l'élu de la pseudo-démocratie socialiste doit parler des "riches" comme s'ils étaient des exploiteurs et donc comme si leur "richesse" était volée aux "pauvres", ce qui justifierait de la leur "reprendre". | Et, en dépit du fait que la théorie marxiste de l'"exploitation" est réfutée depuis belle lurette, l'élu de la pseudo-démocratie socialiste doit parler des "riches" comme s'ils étaient des exploiteurs et donc comme si leur "richesse" était volée aux "pauvres", ce qui justifierait de la leur "reprendre". | ||
Ce phénomène digne du chat de Cheshire dans Alice au pays des merveilles, d'une calomnie ignoble qui perdure alors que plus personne ne croit aux faits qui prétendaient la fonder, est caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste. | Ce phénomène digne du chat de Cheshire dans Alice au pays des merveilles, d'une calomnie ignoble qui perdure alors que plus personne ne croit aux faits qui prétendaient la fonder, est caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste. |
Revision as of 28 January 2009 à 10:36
Le pauvrisme est une technique du nazisme social, cette négation des Droits de l'homme si on peut faire passer cet homme-là pour "riche", et qui consiste, plutôt qu'à nier ce Droit --ce qui est bien son intention, à exalter les "pauvres" et à leur inventer toutes sortes de "droits" qui, à défaut de pouvoir leur être garantis, impliquent forcément de voler le "riche" et donc de nier ses Droits.
le pouvoir illimité de la majorité entretient le pauvrisme
La règle de procédure que la pseudo-démocratie socialiste privilégie pour nier dans leur principe tous les Droits de ses victimes en faisant accepter sa fausse conception, communiste, de la légitimité politique, est le pouvoir illimité de la majorité, où il suffit que la moitié de l'électorat, ou de ses soi-disant "représentants", décide pour avoir soi-disant le Droit pour elle.
Le pouvoir illimité de la majorité entraîne naturellement le slogan :
- "vous avez juridiquement tort parce que vous êtes politiquement minoritaires"
Il implique bien la fausse conception du Droit, communiste, de la pseudo-démocratie socialiste puisqu'aucun Droit personnel n'y est à l'abri des usurpations de la majorité ou soi-disant telle.
Dans la mesure où le pseudo-démocrate socialiste se maintient au pouvoir en distribuant à ses clientèles électorales de l'argent qu'il présente comme volé aux autres, la rivalité électorale le forcera à distribuer autant d'argent qu'il pourra en voler, sinon d'autres démagogues le battront sur ce point.
Dans la mesure où le pseudo-démocrate socialiste parvient au pouvoir en constituant une majorité, et doit distribuer autant de butin que que possible à ses receleurs, il ne s'ensuit pas seulement que l'électeur médian, celui qui représente la différence entre la majorité et la minorité, est un véritable dictateur de la pseudo-démocratie socialiste, il s'ensuit aussi que, quelle que soit la coalition majoritaire, celle-ci doit paraître voler les riches davantage que les pauvres et pour ce faire, pratiquer le nazisme social contre les "riches".
C'est pourquoi les coalitions de droite comme les coalitions de gauche le pratiquent, ce nazisme social, trahissant ceux de leurs électeurs qui s'y opposent. Ils maintiennent les impôts de la haine et reconnaissent les prétendus droits sociaux, distribuant ostensiblement de l'argent volé et autres privilèges aux "pauvres" supposés.
Et, en dépit du fait que la théorie marxiste de l'"exploitation" est réfutée depuis belle lurette, l'élu de la pseudo-démocratie socialiste doit parler des "riches" comme s'ils étaient des exploiteurs et donc comme si leur "richesse" était volée aux "pauvres", ce qui justifierait de la leur "reprendre". Ce phénomène digne du chat de Cheshire dans Alice au pays des merveilles, d'une calomnie ignoble qui perdure alors que plus personne ne croit aux faits qui prétendaient la fonder, est caractéristique de la pseudo-démocratie socialiste.