« Socialo-sadisme » : différence entre les versions

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:si mon voisin a une belle voiture, c'est qu'il me l'a volée. Si ja la détruis, c'est un peu comme si je la reprenais.  
:si mon voisin a une belle voiture, c'est qu'il me l'a volée. Si ja la détruis, c'est un peu comme si je la reprenais.  


Comment éviter d'arriver à une telle conclusion une fois qu'on a accepté que le monde est un [[jeu à somme nulle]], que le pillage n'est pas destructeur, qu'il n'y a pas de création mais de l'exploitation, et que donc la question est juste de savoir comment ''redistribuer'' cette richesse, et que le pillage est un bon moyen pour y parvenir ?
Comment éviter d'arriver à une telle conclusion une fois qu'on a accepté que le monde est un [[jeu à somme nulle]], que le pillage n'est pas destructeur, qu'il n'y a pas de création mais de l'exploitation, et que donc la question est juste de savoir comment ''redistribuer'' cette richesse (même certains économistes parlent malheurement de "distribution" ou "allocation" des richesses comme si la richesse était ''distribuée'' et non ''créée''), et que le pillage est un bon moyen pour y parvenir ?


Une blague bien connue dans les pays communistes est ainsi la suivante :  
Une blague bien connue dans les pays communistes est ainsi la suivante :  

Revision as of 1 March 2007 à 09:53

Le socialo-sadisme est une affection des socialistes méchants. Le socialo-sadique prend tellement de plaisir à faire du mal aux autres qu'il fera non seulement de la destruction "gratuite" (ou qu'il croit telle par son ignorance économique), du vandalisme, mais sera même prêt à supporter des coûts, voire souffrir lui-même pour y parvenir, parfois même à endurer exactement la même souffrance qu'il imposera à ses victimes.

L'une des conséquences de l'esclavagisme-absurdisme est de faire oublier tout raisonnement économique au point de ne plus voir de différence entre création et destruction, production et vol. Dans sa version soft, chez les victimes de l'a-pensée communiste, le socialo-sadisme se traduit par la jalousie :

si mon voisin a une belle voiture, c'est qu'il me l'a volée. Si ja la détruis, c'est un peu comme si je la reprenais.

Comment éviter d'arriver à une telle conclusion une fois qu'on a accepté que le monde est un jeu à somme nulle, que le pillage n'est pas destructeur, qu'il n'y a pas de création mais de l'exploitation, et que donc la question est juste de savoir comment redistribuer cette richesse (même certains économistes parlent malheurement de "distribution" ou "allocation" des richesses comme si la richesse était distribuée et non créée), et que le pillage est un bon moyen pour y parvenir ?

Une blague bien connue dans les pays communistes est ainsi la suivante :

Deux voisins ont chacun une chèvre qui leur fournit du lait. La chèvre de l'un d'entre eux meurt soudain. Celui-ci prie alors Dieu de l'aider. Ses prières sont exaucées, et Dieu lui demande :
- J'ai entendu tes prières. Très bien, je t'exaucerai donc un souhait. Que désires-tu ? Une nouvelle chèvre ? Dix nouvelles chèvres ? Du lait pour toujours ?
- Non Seigneur, répond le paysan. Je veux juste que la chèvre de mon voisin crève aussi.

Exemples de socialo-sadisme

ORDRE.NET : socialo-sadisme

Voir aussi

Impôts de la haine