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Pascal Salin (né en 1939) est un économiste français, professeur à l'université de Paris IX Dauphine, spécialiste de finances publiques, ancien président de la Société du Mont Pèlerin. D'inspiration libérale, son oeuvre marche dans les traces de Frédéric Bastiat, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek.
Pascal Salin (né en 1939) est un économiste français, professeur à l'université de Paris IX Dauphine, spécialiste de finances publiques, ancien président de la Société du Mont Pèlerin. D'inspiration libérale, son oeuvre marche dans les traces de Frédéric Bastiat, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek.


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<li>Les libéraux ne sont pas concernés par le marché, ils sont concernés par les droits, ce qui n'est pas du tout la même chose.</li>
<li>Les libéraux ne sont pas concernés par le marché, ils sont concernés par les droits, ce qui n'est pas du tout la même chose.</li>
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Revision as of 24 December 2005 à 07:40

Pascal Salin (né en 1939) est un économiste français, professeur à l'université de Paris IX Dauphine, spécialiste de finances publiques, ancien président de la Société du Mont Pèlerin. D'inspiration libérale, son oeuvre marche dans les traces de Frédéric Bastiat, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek.

Oeuvres :

  • L'ordre monétaire mondial (1982)
  • L'arbitraire fiscal (1985)
  • Présence de Jacques Rueff (1989)
  • La vérité sur la monnaie (1990)
  • Macroéconomie (1991)
  • Libre-échange et protectionnisme (1991)
  • La concurrence (1995)
  • Libéralisme (2000)

Citations :

  • L'État n'a aucune justification morale ni scientifique, mais (...) constitue le pur produit de l'émergence de la violence dans les sociétés humaines.
  • Un marché sans règles publiques fonctionne mieux qu'un marché réglementé.
  • La théorie keynésienne représente une aberration dans l'histoire des idées économiques. Elle repose en effet sur une approche directement en termes collectifs (par définition de variables macroéconomiques) en ignorant le caractère rationnel et volontaire de l'action humaine.
  • Prélevé en fonction d'une norme décidée par les détenteurs du pouvoir étatique, sans respect de la personnalité de chacun, l'impôt pénalise la prise de risque et est foncièrement esclavagiste, allant à l'encontre de son but recherché, bafouant les droits fondamentaux de l'être humain et la propriété de l'individu.
  • Les libéraux ne sont pas concernés par le marché, ils sont concernés par les droits, ce qui n'est pas du tout la même chose.