« Socialo-sadisme » : différence entre les versions

From Liberpédia
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Line 3: Line 3:
:Concerning resentment and envious malevolence little need be said. Resentment is at work when one so hates somebody for his more favorable circumstances that one is prepared to bear heavy losses if only the hated one might also come to harm. Many of those who attack capitalism know very well that their situation under any other economic system will be less favorable. Nevertheless, with full knowledge of this fact, they advocate a reform, e.g., socialism, because they hope that the rich, whom they envy, will also suffer under it. Time and again one hears socialists say that even material want will be easier to bear in a socialist society because people will realize that no one is better off than his neighbor.
:Concerning resentment and envious malevolence little need be said. Resentment is at work when one so hates somebody for his more favorable circumstances that one is prepared to bear heavy losses if only the hated one might also come to harm. Many of those who attack capitalism know very well that their situation under any other economic system will be less favorable. Nevertheless, with full knowledge of this fact, they advocate a reform, e.g., socialism, because they hope that the rich, whom they envy, will also suffer under it. Time and again one hears socialists say that even material want will be easier to bear in a socialist society because people will realize that no one is better off than his neighbor.


::[[Ludwig von Mises]], [[Liberalism]],  6. The Psychological Roots of Antiliberalism, p. 13 [http://www.mises.org/resources/f9824263-c7c9-4e7b-93a6-0a55c82c0b2c]
::[[Ludwig von Mises]], [[Liberalism]], p. 13 [http://www.mises.org/resources/f9824263-c7c9-4e7b-93a6-0a55c82c0b2c]


L'une des conséquences de l'esclavagisme-absurdisme est de faire oublier tout raisonnement économique au point de ne plus voir de différence entre  création et destruction, production et vol. Dans sa version soft, chez les victimes de l'a-pensée communiste, le socialo-sadisme se traduit par la jalousie :  
L'une des conséquences de l'esclavagisme-absurdisme est de faire oublier tout raisonnement économique au point de ne plus voir de différence entre  création et destruction, production et vol. Dans sa version soft, chez les victimes de l'a-pensée communiste, le socialo-sadisme se traduit par la jalousie :  

Revision as of 16 August 2007 à 21:04

Le socialo-sadisme est une affection des socialistes méchants. Le socialo-sadique prend tellement de plaisir à faire du mal aux autres qu'il fera non seulement de la destruction "gratuite" (ou qu'il croit telle par son ignorance économique), du vandalisme, mais sera même prêt à supporter des coûts, voire souffrir lui-même pour y parvenir, parfois même à endurer exactement la même souffrance qu'il imposera à ses victimes.

Concerning resentment and envious malevolence little need be said. Resentment is at work when one so hates somebody for his more favorable circumstances that one is prepared to bear heavy losses if only the hated one might also come to harm. Many of those who attack capitalism know very well that their situation under any other economic system will be less favorable. Nevertheless, with full knowledge of this fact, they advocate a reform, e.g., socialism, because they hope that the rich, whom they envy, will also suffer under it. Time and again one hears socialists say that even material want will be easier to bear in a socialist society because people will realize that no one is better off than his neighbor.
Ludwig von Mises, Liberalism, p. 13 [1]

L'une des conséquences de l'esclavagisme-absurdisme est de faire oublier tout raisonnement économique au point de ne plus voir de différence entre création et destruction, production et vol. Dans sa version soft, chez les victimes de l'a-pensée communiste, le socialo-sadisme se traduit par la jalousie :

si mon voisin a une belle voiture, c'est qu'il me l'a volée. Si ja la détruis, c'est un peu comme si je la reprenais.

Comment éviter d'arriver à une telle conclusion une fois qu'on a accepté que le monde est un jeu à somme nulle, que le pillage n'est pas destructeur, qu'il n'y a pas de création mais de l'exploitation, et que donc la question est juste de savoir comment redistribuer cette richesse (même certains économistes parlent malheurement de "distribution" ou "allocation" des richesses comme si la richesse était distribuée et non créée), et que le pillage est un bon moyen pour y parvenir ?

Une blague bien connue dans les pays communistes est ainsi la suivante :

Deux voisins ont chacun une chèvre qui leur fournit du lait. La chèvre de l'un d'entre eux meurt soudain. Celui-ci prie alors Dieu de l'aider. Ses prières sont exaucées, et Dieu lui demande :
- J'ai entendu tes prières. Très bien, je t'exaucerai donc un souhait. Que désires-tu ? Une nouvelle chèvre ? Dix nouvelles chèvres ? Du lait pour toujours ?
- Non Seigneur, répond le paysan. Je veux juste que la chèvre de mon voisin crève aussi.

Exemples de socialo-sadisme

ORDRE.NET : socialo-sadisme

Voir aussi

Impôts de la haine