« Jeunes des banlieues » : différence entre les versions
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En outre, le ''jeune des banlieues'' n'est '''pas officiellement autorisé à déterminer lui-même l'ampleur des richesses volées aux autres dont il vit''' : la décision | En outre, le ''jeune des banlieues'' n'est '''pas officiellement autorisé à déterminer lui-même l'ampleur des richesses volées aux autres dont il vit''' : la décision appartient aux [[Hifi]]s, au sommet de la [[caste exploiteuse|hiérarchie des exploiteurs du peuple]] | ||
==L'aspiration à monter en grade== | ==L'aspiration à monter en grade== |
Revision as of 29 April 2006 à 06:39
"Jeune des banlieues" est un bas grade de la caste exploiteuse.
Übermenschen légaux
Comme tous les parasites sociaux institutionnels, le jeune des banlieues vit d'argent volé aux autres par la violence policière : logements volés (dits "sociaux"), argent volé (dit "prestations sociales", "allocations de chômage", "salaires associatifs"), enseignement volé (dit "éducation nationale").
La complicité de fait de la police lui attribue en outre de juteux privilèges de monopole pour toutes sortes de commerces illégaux : drogue, objets volés.
Enfin, il jouit de privilèges d'immunité au titre du racisme institutionnel d'état, qui interdit de rappeler qu'aucun étranger n'a a priori le Droit de s'installer dans un état soi-disant "démocrate" si l'opinion majoritaire s'y oppose, lui fait la réputation d'être une "victime" et interdit de mentionner son origine ethnique : ainsi, "jeune" est un euphémisme obligatoire.
Le jeune des banlieues est donc un Übermensch légal du socialisme au pouvoir, au double titre de son nazisme social et de son nazisme racial anti-Français et anti-blancs.
Au bas de la hiérarchie
Ce qui marque son rang inférieur dans la caste exploiteuse est que celle-ci lui interdit par ailleurs de travailler honnêtement, par les diverses dispositions légales - salaire minimum, interdictions de licencier - qu'ont exigées les syndicalistes, qui sont de rang plus élevé dans la caste exploiteuse.
En outre, le jeune des banlieues n'est pas officiellement autorisé à déterminer lui-même l'ampleur des richesses volées aux autres dont il vit : la décision appartient aux Hifis, au sommet de la hiérarchie des exploiteurs du peuple
L'aspiration à monter en grade
Pour améliorer son statut, le jeune des banlieues a recours à la violence, par définition le moyen d'action de la caste exploiteuse, et notamment par la violence directe qui, rang dans la hiérarchie oblige, est celui de ses bas grades. Violence directe contre les gens normaux d'abord, qui leur permet de s'enrichir directement, contre les symboles du pouvoir ensuite, comme moyen de pression sur les Hifis.
L'impunité relative dont ils jouissent pour ces délits et ces crimes les fait d'ailleurs passer au rang supérieur de la hiérarchie exploiteuse, celui d'aspirants partenaires sociaux à part entière, à l'égal de José Bové.