« Facho-anti-facho » : différence entre les versions
Turion (discussion | contribs) Aucun résumé des modifications |
Turion (discussion | contribs) Aucun résumé des modifications |
||
Line 1: | Line 1: | ||
[[Fichier:Antifa.jpeg|thumb|right]] | [[Fichier:Antifa.jpeg|thumb|right]] | ||
<blockquote><p>In Italia I fascisti si dividono in due categorie | <blockquote><p>''In Italia I fascisti si dividono in due categorie: i fascisti e gli antifascisti''</p> | ||
<p>En Italie les fascistes se divisent en deux catégories: les fascistes et les antifascistes. </p> </blockquote> | <p>En Italie les fascistes se divisent en deux catégories: les fascistes et les antifascistes. </p> </blockquote> |
Version actuelle datée du 11 June 2024 à 04:21
In Italia I fascisti si dividono in due categorie: i fascisti e gli antifascisti
En Italie les fascistes se divisent en deux catégories: les fascistes et les antifascistes.
Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes.
Un facho-anti-facho est quelqu’un, qui, sous prétexte d’anti-racisme, anti-nazisme, anti-fascisme, ou anti-intolérance n’hésite pas à prôner le racisme (tant qu’il est anti-blanc, voire « anti-sioniste »), l’utilisation du monopole de la violence étatique dans un but racial (caractéristique du nazisme et de l’apartheid), par exemple dans le cas de la « discrimination positive », la censure et un contrôle de l’opinion et de la société par l’État (typique du fascisme) ou même l’intolérance (casser la gueule aux nazis, même à ceux qui n’ont commis aucune violence). Cette attitude semble malheureusement répandue dans les organisations « anti-racistes » (souvent orientées politiquement) et divers mouvements « anti-fascistes », notamment ceux se réclamant par ailleurs de « l’anarchisme socialiste ».
On citera également ceux qui prétendent s’opposer au nationalisme tout en défendant un autre nationalisme, soit celui de « leur » pays par opposition à celui où ils résident, soit le nationalisme européen, voire le pan-nationalisme global[1] par opposition aux nationalismes « nationaux », voire des « nationalismes » régionaux par opposition au nationalisme de l’État central.