« Impôts de la haine » : différence entre les versions
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* [https://www.nytimes.com/2018/01/10/business/economy/irs-debt-collection.html I.R.S. Paid $20 Million to Collect $6.7 Million in Tax Debts] | * [https://www.nytimes.com/2018/01/10/business/economy/irs-debt-collection.html I.R.S. Paid $20 Million to Collect $6.7 Million in Tax Debts] |
Version actuelle datée du 24 September 2022 à 17:51
Les impôts de la haine sont ceux qui sont là pour faire du mal à leurs victimes, pour les ruiner et non pour rapporter le plus de butin possible aux Voleurs Officiels de l’État.
Ce sont les impôts progressifs dont l'impôt sur le revenu, déjà réclamé par le Manifeste du parti communiste en 1848 et imposé au début du XXe siècle.
Les impôts de la haine sont une idée des socialistes méchants
On n’est jamais socialiste que pour voler les autres, mais comme il y a deux raison de vouloir voler les autres, on distingue les socialistes cupides veulent voler les autres pour dépenser le butin à leur place, et les socialistes méchants veulent voler les autres pour leur faire du mal.
- « Ils ne cherchent pas à posséder votre argent ; ce qu’ils veulent, c’est vous en priver » (Ayn Rand).
Le « débat » sur les impôts de la haine
On risque de provoquer une dispute entre socialistes cupides et socialistes méchants si on attire l’attention sur le fait que les impôts de la haine diminuent le butin de la spoliation légale parce qu’ils découragent leurs victimes de produire. C’est pourquoi les socialistes paient des imposteurs pour « prouver statistiquement » que les impôts de la haine ne découragent pas la production. Débats pour esclavagistes-absurdistes dont les conclusions iront orner la Grande Bibliothèque de la sophistique étatiste, dans l’aile intitulée « Je prouve statistiquement que deux et deux font cinq ».
Un instrument de l’imposture
L’enjeu politique d’un tel débat est accru par le rôle de camouflage que jouent les impôts de la haine. Comme le mensonge essentiel de l’esclavagisme-absurdisme à l’électeur est de lui promettre de l’argent volé aux autres, les impôts de la haine — même si leur butin ne représente qu’une faible part des redistributions — rendent cette promesse plausible en persécutant ostensiblement une minorité : l’électeur peut alors vaguement croire, puisque d’autres paient plus que lui, que la redistribution politique serait à son avantage, même si en réalité celle-ci détruit tout ce qu’elle vole.
Cette persécution ostensible est aussi corruptrice : elle a pour les esclavagistes-absurdistes l’avantage de désarmer moralement la population qui croit en profiter : si elle a reçu les dépouilles de l’injustice faite aux autres, au nom de quoi pourra-t-elle résister aux agressions qui la prendront pour cible ?
En outre cette persécution s’accompagne d’une diffamation organisée contre le groupe persécuté, l’accusant de malfaisance pour rationaliser les violences qu’on lui fait subir, et détourner l’attention des autres victimes du socialisme vers des coupables imaginaires. Par exemple, la falsification marxiste de la lutte des classes détourne l’accusation d’être des exploiteurs des puissants vers les riches, ce qui permet à l’exploitation socialiste de se développer à l’abri de ces fausses accusations.
Une manifestation de nazisme social
Comme il n’est pas moins injuste d’agresser des innocents au prétexte de la classe que d’agresser des innocents au prétexte de la race, il est bon de parler des impôts de la haine comme d’une forme de nazisme social. Le nazisme social a d’ailleurs fait bien plus de victimes, et commis bien plus d’assassinats, que le nazisme racial.
Exemples
- L’ISF En France : "L’analyse économique montre en effet que l’ISF coûte au moins deux fois plus cher à l’État qu’il ne lui rapporte."[1]