« Prix Zorg-Krugman de la Vitre cassée » : différence entre les versions
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Boris Johnson, Premier ministre de sa Majesté, dit BoJo le Clown (par analogie avec Bozo [https://fr.wikipedia.org/wiki/Bozo_le_clown]), | Boris Johnson, Premier ministre de sa Majesté, dit BoJo le Clown (par analogie avec Bozo [https://fr.wikipedia.org/wiki/Bozo_le_clown]), très honorable[https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_tr%C3%A8s_honorable] [[idiot utile du néant]], pour l’ensemble de son œuvre de l’année : | ||
* Début mars, il proclame qu’il ne faut surtout rien faire contre le Covid, afin d’obtenir une « immunité collective ». Rien n’indique à ce moment là, ni d’ailleurs six mois plus tard, que cela soit une bonne idée. | * Début mars, il proclame qu’il ne faut surtout rien faire contre le Covid, afin d’obtenir une « immunité collective ». Rien n’indique à ce moment là, ni d’ailleurs six mois plus tard, que cela soit une bonne idée. |
Revision as of 30 August 2020 à 23:18
Le prix Zorg-Krugman de la vitre cassée est décerné chaque année à une personnalité qui se distingue particulièrement par sa contribution au néant, à la destruction et à la stagnation, en particulier lorsqu’elle le fait grâce à une pratique assidue de son analphabétisme économique.
Nom
Attribution
Entrent notamment en ligne de compte pour l’attribution du prix :
- Contribuer à la propagation du néant, de la mort ou de la destruction ;
- En être soi-même victime ;
- Le faire par le biais du sophisme de la vitre cassée — ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas.
Remise du prix
Pour la remise du prix, une vitre est symboliquement cassée sur la tête de l’heureux vainqueur.
Récipiendaires
2020 : BoJo le clown
Boris Johnson, Premier ministre de sa Majesté, dit BoJo le Clown (par analogie avec Bozo [3]), très honorable[4] idiot utile du néant, pour l’ensemble de son œuvre de l’année :
- Début mars, il proclame qu’il ne faut surtout rien faire contre le Covid, afin d’obtenir une « immunité collective ». Rien n’indique à ce moment là, ni d’ailleurs six mois plus tard, que cela soit une bonne idée.
- Lorsque quelqu’un finit par lui faire gentiment comprendre le nombre de morts qu’une contamination de 60% de la population impliquerait (quand on est un clown on ne sait pas compter sur ses doigts), il revoit la politique — trop tard. Le 5 juin, le Royaume-Uni est à la 2e place mondiale de taux de mortalité du covid. Merci BoJo.
- Le 6 avril, il est lui-même hospitalisé.
- N’en ayant visiblement rien appris, le 28 août il estime que c’est une bonne idée de lancer une grande campagne, avec l’argent du contribuable, pour encourager les employés à retourner au bureau. [5] [6] En pleine pandémie. Contre l’avis des employés eux-mêmes, des employeurs, et des syndicats. Vite, retasser les gens dans les métros pour se rendre au travail, ça allait si bien avant! Les métros bondés, le métro-boulot-dodo (ou la pollution et les bouchons des voitures, à choix), la transmission de covid, de grippe, etc, ça nous a tous manqué, n’est-ce-pas ? L’argument principal ? Sauver l’emploi des sandwicheries. À la maison, c’est bien connu, les gens ne mangent rien. Ça ne s’invente pas.