« Redistribution politique » : différence entre les versions

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Pillage des faibles par les puissants, qui  ''vole aux producteurs pour donner aux destructeurs'' - en particulier dans le cas de "l'aide internationale".
:''Foreign aid might be defined as a transfer from poor people in rich countries to rich people in poor countries.''
::Définition de la prétendue "aide internationale au développement" par Douglas Casey (1992)


:Foreign aid might be defined as a transfer from poor people in rich countries to rich people in poor countries.
La '''redistribution politique''' consiste par définition dans le '''''pillage des faibles par les puissants''''', lequel ''vole les producteurs pour donner aux destructeurs''.
::Douglas Casey (1992)


La redistribution politique vole toujours  les producteurs,  parce qu'il faut bien que la richesse soit produite pour qu'on puisse la voler,  et que le producteur est le propriétaire naturel de sa production.  
La redistribution politique vole toujours  des '''producteurs''',  parce qu'il faut bien que la richesse soit produite pour qu'on puisse la voler,  et que le producteur, avec ses ayants-droits, est le propriétaire naturel de sa production.  


Les hommes de l'état prennent grand soin de camoufler la raison d'être de leurs interventions derrière des discours altruistes ou collectivistes,  pour qu'on ne tire aucune conséquence du fait que l'argent "public"  c'est de l'argent ''volé'', et qu'il '''termine toujours sa course dans quelque poche ''privée'''''.
Les '''puissants''' hommes de l'état prennent grand soin de ''camoufler'' la raison d'être de leurs interventions derrière des discours altruistes ou collectivistes,  pour qu'on ne tire aucune conséquence du fait indéniable que '''l'argent "public"  c'est de l'argent ''volé'' aux autres par la force''', et qu'il '''termine toujours sa course dans quelque poche ''privée'''''.


==La redistribution politique se camoufle souvent derrière  une ''production''==
==La redistribution politique se camoufle souvent derrière  une ''production''==
Cependant,  le fait est que l'état n'agit jamais que par la violence,  et que  la violence est par nature destructrice,  de sorte que les hommes de l'état ne peuvent servir la production que s'ils détruisent des destructeurs.  
Cependant,  le fait est que l'état n'agit jamais que par la violence,  et que  la violence est par nature destructrice,  de sorte que les hommes de l'état ne peuvent servir la production que s'ils détruisent des destructeurs.  


Par conséquent, '''les hommes de l'état en tant que tel ne peuvent jamais produire quand il font autre chose que neutraliser les voleurs et les assassins'''.
Par conséquent, '''les hommes de l'état en tant que tel ne peuvent absolument jamais produire quand ils font autre chose que neutraliser les voleurs et les assassins'''.


La plus grande partie de la prétendue ''production'' étatique,  par les prétendus "servics publics"  et autres entreprises volées,  n'est donc que redistribution politique, camouflées par l'[[amalgame]] avec une production réelle,  pour laquelle la violence d'état n'est pas nécessaire,  compromettant au contraire la qualité et la continuité du service.
La plus grande partie de la prétendue ''production'' étatique,  par les prétendus "[[service public|services publics]]"  et autres entreprises volées,  n'est donc que de la redistribution politique, camouflée par un ''[[amalgame]]'' avec une production réelle,  production pour laquelle la violence d'état n'est évidemment pas nécessaire,  compromettant au contraire la qualité et la continuité du service en parasitant la production par des vols et des considérations qui lui sont étrangères ou contraires.
 
==La redistribution politique n'atteint pas ses buts==
Comme l'a montré  Bertrand de Jouvenel dans ''The Ethics Of Redistribution'', on ne peut pas enrichir les pauvres en volant les riches : parce que, même si ça ne décourageait pas les riches de produire,  les riches ne sont pas assez nombreux.
 
Certes, il y a dans les pseudo-démocraties socialistes une discrimination ostensible et un discours de haine  à l'égard des "riches".  Mais ça ne rapporte pas grand-chose, certainement pas assez pour entretenir les monstres de la Sécurité sociale et de l'éducation nationale :  c'est seulement un des nombreux procédés destinés à faire croire à la majorité de l'électorat que la redistribution politique lui profite.


==La loi de la destruction totale==
==La loi de la destruction totale==
Pour ce qui est de profiter à ses receleurs,  c'est une autre affaire, puique la rivalité pour le butin garantit en tendance qu'on n'a pas plus de chance de gagner que de perdre  en consacrant ses ressources à tenter de voler les autres.  
Pour ce qui est de '''profiter''' à ses receleurs,  la redistribution politique en tant que telle ne le fait pas,  puisqu''''il n'y a jamais de profit assuré''', pas plus dans le pillage d'autrui que dans la production : en l'espèce,  c'est  la ''rivalité pour le butin'' qui garantit en tendance qu'[[Voleur_Officiel#Le_Vol_Officiel_n.27est_pas_une_bonne_affaire_en_soi| on n'a pas plus de chance de gagner que de perdre  en consacrant ses ressources à tenter de voler les autres]].  


Comme ces ressources consacrées  à voler les autres au titre de la redistribution politique  sont entièrement perdues pour la production,  la redistribution politique engendre nécessairement une destruction de la richesse. Et comme on a intérêt à pseudo-"investir"  dans la redistribution politique tant que la valeur de ce pseudo-"investissement"  n'a pas égalé  celle de la art de butin qu'on espère en tirer,  il s'ensuit qu'en tendance,  ''c'est l'équivalent de '''tout ce qui fait l'objet de la redistribution politique''' qui '''sera détruit'''''.   
Comme ces ressources consacrées  à voler les autres au titre de la redistribution politique  sont entièrement perdues pour la production,  '''la redistribution politique engendre nécessairement une destruction de la richesse'''. Et comme on a intérêt à pseudo-"investir"  dans la redistribution politique tant que la valeur de ce pseudo-"investissement"  n'a pas égalé  celle de la part de butin qu'on espère en tirer,  il s'ensuit qu'en tendance,  ''c'est l'équivalent de '''tout ce qui fait l'objet de la redistribution politique''' qui '''sera détruit'''''.   


La redistribution politique détruit dont tout ce dont elle s'empare,  c'est la [[Loi de la Destruction Totale]]'' ou ''[[Loi de Bitur-Camember]]''.
La redistribution politique détruit donc tout ce dont elle s'empare,  c'est la [[Loi de la Destruction Totale]]'' ou ''[[Loi de Bitur-Camember]]''.




[[Category:Politique]]
[[Category:Politique]]

Version actuelle datée du 26 April 2007 à 02:36

Foreign aid might be defined as a transfer from poor people in rich countries to rich people in poor countries.
Définition de la prétendue "aide internationale au développement" par Douglas Casey (1992)

La redistribution politique consiste par définition dans le pillage des faibles par les puissants, lequel vole les producteurs pour donner aux destructeurs.

La redistribution politique vole toujours des producteurs, parce qu'il faut bien que la richesse soit produite pour qu'on puisse la voler, et que le producteur, avec ses ayants-droits, est le propriétaire naturel de sa production.

Les puissants hommes de l'état prennent grand soin de camoufler la raison d'être de leurs interventions derrière des discours altruistes ou collectivistes, pour qu'on ne tire aucune conséquence du fait indéniable que l'argent "public" c'est de l'argent volé aux autres par la force, et qu'il termine toujours sa course dans quelque poche privée.

La redistribution politique se camoufle souvent derrière une production

Cependant, le fait est que l'état n'agit jamais que par la violence, et que la violence est par nature destructrice, de sorte que les hommes de l'état ne peuvent servir la production que s'ils détruisent des destructeurs.

Par conséquent, les hommes de l'état en tant que tel ne peuvent absolument jamais produire quand ils font autre chose que neutraliser les voleurs et les assassins.

La plus grande partie de la prétendue production étatique, par les prétendus "services publics" et autres entreprises volées, n'est donc que de la redistribution politique, camouflée par un amalgame avec une production réelle, production pour laquelle la violence d'état n'est évidemment pas nécessaire, compromettant au contraire la qualité et la continuité du service en parasitant la production par des vols et des considérations qui lui sont étrangères ou contraires.

La redistribution politique n'atteint pas ses buts

Comme l'a montré Bertrand de Jouvenel dans The Ethics Of Redistribution, on ne peut pas enrichir les pauvres en volant les riches : parce que, même si ça ne décourageait pas les riches de produire, les riches ne sont pas assez nombreux.

Certes, il y a dans les pseudo-démocraties socialistes une discrimination ostensible et un discours de haine à l'égard des "riches". Mais ça ne rapporte pas grand-chose, certainement pas assez pour entretenir les monstres de la Sécurité sociale et de l'éducation nationale : c'est seulement un des nombreux procédés destinés à faire croire à la majorité de l'électorat que la redistribution politique lui profite.

La loi de la destruction totale

Pour ce qui est de profiter à ses receleurs, la redistribution politique en tant que telle ne le fait pas, puisqu'il n'y a jamais de profit assuré, pas plus dans le pillage d'autrui que dans la production : en l'espèce, c'est la rivalité pour le butin qui garantit en tendance qu' on n'a pas plus de chance de gagner que de perdre en consacrant ses ressources à tenter de voler les autres.

Comme ces ressources consacrées à voler les autres au titre de la redistribution politique sont entièrement perdues pour la production, la redistribution politique engendre nécessairement une destruction de la richesse. Et comme on a intérêt à pseudo-"investir" dans la redistribution politique tant que la valeur de ce pseudo-"investissement" n'a pas égalé celle de la part de butin qu'on espère en tirer, il s'ensuit qu'en tendance, c'est l'équivalent de tout ce qui fait l'objet de la redistribution politique qui sera détruit.

La redistribution politique détruit donc tout ce dont elle s'empare, c'est la Loi de la Destruction Totale ou Loi de Bitur-Camember.